Comité des Riders


  Cette aventure dans l’écriture et l’édition n’est pas uniquement le fruit de mon travail. J’ai eu la chance de rencontrer et de côtoyer encore des personnes de valeur. Des amis de longue date et des âmes remarquables, croisés parfois de manière inattendue qui m’ont toujours épaulé. Leur avis s’est toujours efforcé d’être pertinent avec la tendance du moment et le but que je recherchais. Il fut un temps où je refusais d’écouter leur avis, mais je me rends bien compte de sa valeur inestimable aujourd’hui. Je n’en serais pas arrivé à ce niveau de rédaction (sans prétention) sans le concours de mon comité de lecture. Il n’y aurait pas d’ordre pour décrire les qualités que chacun ou chacune a su mettre en œuvre pour apprécier mon travail à sa façon. Chaque critique a ainsi fait l’objet d’une constante amélioration du résultat que je souhaitais produire depuis toujours. Ma vision de la littérature a pu s’élargir grâce à eux, ainsi que ma manière d’exprimer des émotions ou de décrire des situations. Au fil des années, j’ai pu partager ma progression avec eux et il est juste de leur rendre hommage. C'est également un moyen d'affirmer l'affection que je leur porte, tout en affirmant vouloir conserver ce lien pour la suite de notre aventure.

  Que serait un roman de science-fiction sans un public passionné du genre. Le plus coutumier de mon entourage est sans conteste Max. Malgré une amitié longue de sept années, il ignorait que j’écrivais. Je ne savais rien non plus de sa passion pour cette lecture. Il souhaita un jour jeter un œil à mes écrits. Pourquoi pas, me suis-je dit. Mais je dois avouer que je n’étais clairement pas prêt. Ni au niveau d’analyse ou de critique qu’il m’a fourni ni au partenariat durable et engagé qui s’est mis en place de lui-même. Le simple souhait de me lire en fut le détonateur. Max est ensuite devenu essentiel à l’achèvement de chacun de mes travaux. Sans lui, le bonheur de pouvoir partager cet univers ne serait pas complet. Il m’a offert son regard méticuleux, coutumier du genre, avec l’esprit critique tout de suite destiné à évaluer, puis réorienter le style, le vocabulaire et les tournures de phrase plus en adéquation avec le but recherché. Il m’a conduit à voir l’écriture différemment. La suite ne saurait voir le jour sans lui, car c’est devenu un travail en duo.

  Il me faut bien sûr évoquer la participation d’Aion Thorm, ma belle et fidèle compagne. Sans sa vision philosophique de la vie et des chances qu’elle offre, je n’aurais su trouver les mots pour transmettre mes messages avec la même profondeur. Son arrivée dans ma vie début 2016 fut l’ingrédient qui redémarra mon envie d’écrire huit mois plus tard, pourtant au point mort depuis des années. Je reste persuadé que sans notre rencontre, ces quinze années d’agréable labeur n’auraient pas connu une évolution aussi soudaine, au point de lancer définitivement cette aventure sur les bons rails.

  Vouloir toucher un public en particulier était loin d’être une priorité. Au contraire, je tiens à ce que tous les lecteurs, même ceux réticents à lire de la fiction, se plongent agréablement dans la découverte de mes récits. Sur sa proposition et en sachant que sa critique vaudrait bien plus que des années d’appréciation personnelle, Aurélie a rejoint cette aventure avec un plaisir et un enthousiasme qui n’a eu de cesse de dynamiser ma motivation à toujours vouloir écrire en qualité. Celle que je considère depuis l’enfance comme ma grande sœur restera pour moi un soutien indéfectible tout au long de ma vie.

  Pour son analyse académique et méthodique de mes récits, je remercie grandement Élodie. Depuis notre rencontre au lycée, j’étais convaincu de ses facultés à corriger et guider les élèves malhabiles. C’est donc naturellement que je me suis adressé à la professeur qu’elle est devenue, afin de bénéficier d’un œil affuté. Bien que débordée par son travail et sa vie de famille, elle trouve le temps d’en consacrer à ma création. J’espère pouvoir un jour remercier cette véritable amie à la juste mesure de ses efforts fournis.

  Notre rencontre fut totalement fortuite. J’aurais pu passer à côté de ses écrits sans m’en rendre compte, alors que notre secteur d’activité est si proche. Nous ne pouvions tous deux nous attendre aux échanges passionnants qui en ont résulté. Pour ma part, Myriam m’a apporté énormément de connaissances concernant les outils indispensables à une écriture aboutie, mais aussi la publication. C’est en grande partie grâce à elle que j’ai pu me lancer à l’assaut de ce monde palpitant avec les meilleures armes en main. Je sais que je peux compter sur sa gentillesse et sa pédagogie pour la suite de nos aventures.

  Alors qu’il n’a pas encore lu une page de ce volume-ci, il est le premier à avoir lu mes récits. Cela remonte à notre scolarité et me rend particulièrement nostalgique aujourd’hui. Brice a longtemps participé à l’évolution de mon écriture, de mon style et de mes idées. Mais je l’ai peut-être trop sollicité à répétition pour la lecture des mêmes chapitres que je ne cessais de retoucher. Alors, déjà des années avant la parution de ce premier tome, j’avais décidé de ne plus lui demander de se pencher sur cette besogne. Ce fut pour le mieux. Il me fallait confronter mes écrits à d’autres. Je lui ai refusé le coup d’œil sur cette version aboutie de ma saga, car je souhaite bénéficier d’un avis neuf et innocent des précédents. Mon meilleur ami est l’élément de voute principal de ma jeune envie de créer, puis d’améliorer ce récit. Je tiens à ce qu’il soit fier d’exister comme un membre de ma grande famille et de mon inspiration depuis notre rencontre au collège. C’est une passion commune qui nous a conduits à nous conter des péripéties imaginaires ; lesquelles se sont ensuite organisées et agencées dans mon esprit comme une histoire à développer et raconter.

  Ugo ne tenait pas à être mentionné sur cette page. Je tiens donc à souligner son travail, son soutien et sa passion. Il a su contribuer sans le savoir à l’épanouissement que je connais aujourd’hui dans ma routine dévorante de l’écriture. Sans lui, le R n’aurait jamais vu le jour. Une simple lettre, pourtant si chère et symbolique à nos cœurs. Les connaissances et la bonne humeur d’Ugo seront à jamais pour moi une source de motivation indiscutable. 

  Enfin, Niko représente le dernier maillon essentiel de cette chaine de travail. Le seul lien entre le monde du visuel et celui des mots. Malgré une activité déjà débordante, il a su redoubler d’efforts afin de combler mes attentes pour la couverture. Les projets à venir sont légion et notre collaboration ne fait que commencer.

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